La robe d’Elsa

Comme toutes les petites filles, ma choupette adore se déguiser en princesse. Mais je ne supporte pas ceux du commerce sur lesquels est affiché le portrait de la princesse (franchement, vous voyez Raiponce ou Cendrillon se balader avec leur propre tête sur le torse??). Donc quand elle a voulu la robe Elsa, je me suis attelée à la tâche!

A partir d’un justaucorps

Je me suis lancée dans ce déguisement de Reine de Neiges sans avoir trop d’expérience. J’ai fait de longues recherches sur Internet et j’ai vu de splendides réalisations de la robe Elsa. Mais elles me semblaient bien compliquées pour moi!

Puisque je n’avais pas de patron pour le haut et que je n’étais pas encore très à l’aise avec les fermetures éclairs, il m’avait paru plus simple de partir d’un justaucorps sur lequel j’irai fixé une jupe. Je ne sais pas si c’était la meilleure des idées mais j’ai fait ce que j’ai pu!

Les fournitures de la robe Elsa

En plus du justaucorps bleu ciel, j’ai acheté au marché du tissu satiné bleu clair et de larges bandes de strass bleu. (Je ne connais pas le terme exact, mais cela forme une sorte de grillage avec des « brillants »). J’ai complété avec un bel organza bleu pâle pour le voile.

(J’avais acheté ce voile aux cercles dorés au marché, mais j’ai préféré en prendre un uni finalement)

Ma réalisation

J’ai donc cousu une jupe droite (parce que la robe d’Elsa n’est pas évasée comme celle des autres princesses) élastiqué à la taille.

J’ai assemblé la jupe au justaucorps avec juste quelques points devant, derrière et sur les côtés pour garder l’élasticité du justaucorps.

Ensuite, les paillettes!! Et oui, pour la robe Elsa, il faut que ça brille un peu quand même. Donc j’ai cousu deux bandes de strass sur le justaucorps et la jupe. J’ai coupé le haut en arrondi pour que cela fasse le corsage.

C’était un travail très fastidieux parce que je n’ai pas osé les coudre à la machine. Et comme j’ai partagé les bandes pour qu’elles s’évasent sur la jupe, cela faisait une bonne longueur de couture à la main….

Pour terminer, une traîne que j’ai préférée amovible pour un aspect pratique. Deux petites pressions Kam sous les aisselles (donc quasi invisibles), et le tour est joué!